dimanche 7 juin 2009

Culture de l'ironie

Fuck la culture de l'ironie. Des ricaneurs au sourire ironique, des affiches pour les dentistes sans clients. Culte de l'apparence, façon de faire croire qu'on possède la vérité, la bonne clique, les bonnes attitudes. Je vais vous dire quelque chose : les vrais hommes ne sourient pas comme des cruches à longueur de journée. Bande de canards, je sais bien qui vous êtes. Je sais que vous êtes les derniers quand il faut vraiment être présents. Quand il faut se lever tôt, quand il faut travailler en été, quand au lieu de radoter, il faut créer une formation et transmettre un savoir, quand au lieu de jacter sur l'amitié, il faut aider un ami, quand vous jouez les rebelles et que vous léchouillez le patron et ses valets en douce. Vos dents brillent, c'est bien la seule chose qui luise chez vous. Le travail, les valeurs, les principes en déficit, troupeau de mythos, on vous voit venir de loin.
Cachés dans les réunions, copieurs colleurs quand il faut créer quelque chose, en passe d'agoniser s'il faut manger tout seul ou donner un ordre et s'affirmer. C'est ni les ricaneurs, ni les jaloux ni les mécréants qui me font les courses.

3 commentaires:

  1. dare dare
    ich ya 7ibbana ma fama fi dinya illa ana
    puis chacun de nous doit ce dire .
    c est pas moi ce profil.ca doit etre le voisin.
    alors que c est bien toi oui toi
    anaaaaaaaaaaaa
    oulah mani ana

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  2. Free cat : et c'est surement par humanité que je trouve les ricaneurs insupportables. Ceux précisément qui se voient en mieux. Quand à l'idée que je donne dans la revanche, c'est une interprétation : je suis libre du contenu, du ton et de la vérité de mes posts. Que ça ne te plaise pas est ton problème pas le mien.

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  3. Free cat : bon une petite mise au point, la culture de l'ironie que je décris ici n'a rien à voir avec le racisme. Je parle d'une attitude qui consiste à se poser face aux autres par sur le seul support de l'apparence et du sourire ironique. Coquille vide au final. Sinon j'ai consulté dernièrement et mon psy est d'accord ; ce n'est pas de la revanche. Grâce à Dieu.

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