L'homme : Vous, les bêtes, vous n'êtes bonnes à rien. A manger, à faire boire, à médicamenter et nettoyer les déjections vous coûtez cher.
Le chien : C 'est que nous sommes des bêtes et vous des hommes.
L'homme : Bienheureux que tu le reconnaisses. Au moins vous servez à l'avancée de la science.
Le chien : Cobayes, macaques rhésus, chimpanzés, voilà d'humbles martyrs dévoués à faire progresser la médecine. Vos médicaments, vaccins et remèdes expérimentés sur des vies à poil en auront beaucoup sauvé dans votre espèce.
L'homme : Tu fais la moue! N'est-ce pas un honneur suprême pour vous qui n'êtes rien d'autre qu'un centre plus ou moins construit d'instincts. Entre servir de serpillère à caresses et contribuer à l'amélioration de vie de l'humanité, il n'y a aucune hésitation à avoir. Si l'animal doit périr pour que l'homme survive, alors il faut que l'animal meurt.
Le chien : Si fait! Vous êtes prémunis contre la rage, la peste, le choléra ....Et si d'autres maux terribles apparaissaient, je ne doute pas qu'il se trouverait bien quelque singe ou rat prêt à se sacrifier sans défense. Si par un tour inouï une de ces créatures venait à résister aux centaines de produits qu'un laborantin zélé lui aurait injecté dans l'organisme, je ne doute pas non plus qu'elle irait terminer sa vie dans une cage aux barreaux rouillés quelque part dans un lieu de pitié.
L'homme : C'est le prix à payer pour sauver l'homme.
Le chien : A moins qu'il ne se détruise tout seul.
L'homme : Pardon?
Le chien : Non...rien....je parlais tout seul.
Le chien : C 'est que nous sommes des bêtes et vous des hommes.
L'homme : Bienheureux que tu le reconnaisses. Au moins vous servez à l'avancée de la science.
Le chien : Cobayes, macaques rhésus, chimpanzés, voilà d'humbles martyrs dévoués à faire progresser la médecine. Vos médicaments, vaccins et remèdes expérimentés sur des vies à poil en auront beaucoup sauvé dans votre espèce.
L'homme : Tu fais la moue! N'est-ce pas un honneur suprême pour vous qui n'êtes rien d'autre qu'un centre plus ou moins construit d'instincts. Entre servir de serpillère à caresses et contribuer à l'amélioration de vie de l'humanité, il n'y a aucune hésitation à avoir. Si l'animal doit périr pour que l'homme survive, alors il faut que l'animal meurt.
Le chien : Si fait! Vous êtes prémunis contre la rage, la peste, le choléra ....Et si d'autres maux terribles apparaissaient, je ne doute pas qu'il se trouverait bien quelque singe ou rat prêt à se sacrifier sans défense. Si par un tour inouï une de ces créatures venait à résister aux centaines de produits qu'un laborantin zélé lui aurait injecté dans l'organisme, je ne doute pas non plus qu'elle irait terminer sa vie dans une cage aux barreaux rouillés quelque part dans un lieu de pitié.
L'homme : C'est le prix à payer pour sauver l'homme.
Le chien : A moins qu'il ne se détruise tout seul.
L'homme : Pardon?
Le chien : Non...rien....je parlais tout seul.
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