Dans mon hamac, l'ombre de loin me montre bleutant un reste de crasse. Dans le lin qui m'encocone, on me dirait rêvassant. Des berceuses invisibles que fredonneraient les oliviers.
Un blé d'hiver, 20 tableaux de Dürer, la saveur d'un premier baiser.
Dans ma gangue à maïs, on me croirait frit. Aux courses poursuites après un chapardage de cerises: il suffit en somme d'avoir un peu d'imagination.
Un blé d'hiver, 20 tableaux de Dürer, la saveur d'un premier baiser.
Dans ma gangue à maïs, on me croirait frit. Aux courses poursuites après un chapardage de cerises: il suffit en somme d'avoir un peu d'imagination.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire